Sinéid Mulciber
♦ Missives : 2
♦ Réputation : 0
 |  Sujet: Sin Mulciber, Lord Mort-au-Roy ✩ Lady Sinéid Mulciber, la Perce-Neige (u. c.) Ven 27 Juil - 20:50 | < |
|
Ton personnage
Nom : Mulciber.
Prénom : Sinéid.
Surnom : Lord Mort-au-Roy sous son jour masculin et la Perce-Neige en tant qu'héritière, elle n'est plus que le Patrouilleur et Frère Itinérant Sin Mulciber au Mur.
Âge : Seize ans. A vu le jour durant la dernière lune de l'an 282.
Groupe : Garde de Nuit.
Rang : Sœur de la Garde de Nuit. Héritière de La-Tombe-du-Roy, vassale des Stark.
Arme : Glas et Frimas, respectivement rapière et dague, représentent le dernier héritage de la famille Mulciber avec le château de La-Tombe-du-Roy. La première, semblable à une arme de cristal et régulièrement nommée "la Rapière qui n'en est pas une", est constituée du très rare acier Valyrien et possède une lame un peu plus longue que la moyenne, dimension habilement compensée par la finesse et la légèreté de son tranchant - la poignée de fer, avec son crâne bouche ouverte sur un flocon de neige d'argent stylisé, laisse clairement entendre que l'épée a été forgée pour cette seule famille. La dague, quant à elle, ne possède guère la beauté particulière de sa sœur malgré le fait que sa pointe en soit tout autant acérée, témoignant au contraire de son utilisation plus adaptée à la parade au vu des onyx qui parcourent sa garde et la base de sa lame. Tout au plus un connaisseur pourrait-il remarquer que cette dernière a été mainte fois reforgée au cours des dernières années, sans doute pour en améliorer la balance pour l'utilisation qu'en fait la Perce-Neige, soit une arme de lancer, bien qu'elle la garde tout autant pour un style de combat double dans lequel elle excelle de par sa vitesse et sa dextérité, usant de la dague pour détourner les attaques pendant qu'elle profite de l'allonge de la rapière pour piquer là où ça fait mal.
Description Physique
« Elle ressemble, par les Sept ! A la neige qui tombe lentement sur une étendue gelée. Tentez de l'attraper que déjà elle s'évapore, insaisissable. Mèches d'ombre, teint de lune, yeux d'étoiles, elle ressemble à une froide nuit d'hiver. »
Ne vous laissez pas abuser par l'apparence de jouvencelle de la Perce-Neige. S'il est vrai que son âge en est encore à celui des futilités, la fine demoiselle à la démarche féline et assurée ne s'encombre guère de soieries ni de battements de cils excessifs. Non qu'elle soit désagréable à regarder, à contrario – la beauté de l'héritière de La-Tombe-du-Roy est à ce jour célèbre dans tout le Nord depuis sa prime jeunesse, les chansons qui lui rendent hommage comparant ses yeux à des pierres précieuses étoilées et ses cheveux à de l'onyx liquide gorgé de lune. Sinéid est une damoiselle qui se dessine indéniablement tout en douceur et en délicatesse. Tout en elle respire la légèreté, voir la fragilité. D'une finesse rehaussée par la forte cambrure de ses reins et de petite taille, n'atteignant qu'à peine la poitrine de la plupart des hommes, personne ne s'étonnerait de la voir s'envoler comme une brindille dans le dur vent de l'hiver à venir. Sa svelte silhouette est néanmoins bien proportionnée et non dénuée de courbes féminines venant sans cesse lui rappeler qu'elle n'est clairement pas le jumeau qu'elle prétend être – sa poitrine ronde et ferme peine encore, parfois, à se camoufler sous les vêtements aux plis informes et les armures de cuir qu'elle revêt au Mur. Quant à masquer ses hanches généreuses et ses cuisses fuselées, il n'est même pas la peine d'y songer. Fort heureusement pour la belle qui attire malgré elle les regards même au plus fort de son déguisement masculin, de longs muscles roulent avec agilité sous la finesse de ses longs membres et se manifestent dans la dextérité dont elle fait preuve pour se débarrasser des mains curieuses qui tentent d'en faire leur prochain sujet d'étude. Cela dit, la Mulciber n'a jamais mis en avant la sensualité de ses formes, pas même lorsqu'elle se rendait à la cour de Winterfell en compagnie de Lord son Père, n'éprouvant en aucun cas le besoin d'en rajouter au magnétisme animal qu'elle dégage naturellement. A bien y réfléchir, dans un monde au bord de la guerre cette jeune Lady pourrait sembler bien ridicule... Et pourtant un seul regard de la Perce-Neige dans le feu du combat en a fait changer d'avis plus d'un – à moins qu'il ne s'agisse des marques sur son corps. Traces de ses premiers entrainements, de ses premières défaites, de ses premières victoires. Si la plus impressionnante reste une fine cicatrice courant sur la peau diaphane de son long cou, elle requiert une certaine attention pour la distinguer en travers de la pâleur de son teint, si proche de celle de l'astre lunaire se reflétant sur la neige qu'elle en paraît presque surnaturelle, se nacrant froidement lorsque la nuit envahi le monde. Les ménestrels se permettent bien souvent de broder sur la douceur de pèche de sa peau et sa délicatesse digne des pétales de roses, mais c'est à peine si ses joues fraîches rosissent lorsque le froid se fait sentir, bien qu'elle gagnent fort visiblement en couleur au moindre compliment habilement placé.
Ce n'est cependant pas le corps aérien de la jeune femme qui lui vaut sa réputation, ni même le charme insouciant que lui confère la façon ondoyante qu'elle a de se mouvoir. Le corps n'a, en effet, que rarement assez de souffle pour se permettre de s'arrêter à la simple apparence de la noble après avoir posé les yeux sur son visage aux traits fins. Donnant l'indéfectible impression d'être aussi fragile que du cristal ou de la porcelaine, on en oublie presque la largeur de son front, le dessin effronté de son nez et la pointe un peu brusque de son menton menant directement à un cou de cygne qui appelle si aisément à la caresse. Ce minois harmonieux est de fait très expressif : qu'elle écarquille les yeux, se mordille les lèvres, plisse le bout de son nez mutin, chaque émotion s'affichant sur sa frimousse dans une danse excessivement vivante. Trop, à vrai dire, à son goût. Ses lèvres sont pulpeuses et sucrées, d'un rose framboise délicat, et poussent presque au péché d'un baiser quand il s'agit de mettre un terme au discret sourire ironique qui les ourle en de rares occasions. On dit qu'un sourire de sa part suffirait pour qu'un Roi renonce à son royaume; si on peut fortement douter qu'un quelconque souverain actuel se laisse convaincre par un simple sourire, on peut difficilement nier la chaleur désirable que ce simple mouvement pourrait amener dans cet écrin de velours. Ce tableau est renforcé par de grands yeux hypnotiques en amande, aux coins légèrement relevés qui viennent lui donner l'air farouche d'un oiseau. Et pour cause ! Ce regard vairon, dont l'œil droit scintille comme une émeraude sous le soleil et l'œil gauche revêt un bleu aussi profond que celui du ciel d'une nuit d'été, fascine presque autant qu'il inquiète et, souligné qu'il est de cils longs et épais, se révèle être le principal sujet des chansons à son sujet. Un éclat mystérieux est ainsi perceptible dans ses prunelles, cachant une certaine malice derrière l'apparente candeur de sa jeunesse alors qu'elles paraissent lire au plus profond de l'âme lorsqu'elle scrute son entourage. Véritable puits d'âme surmonté de fins sourcils, ils ne manquent pas d'intriguer de par la menace à peine perceptible qui frôle leur surface pour mieux témoigner de l'attention que la jeune Lady porte au monde qui l'entoure. Si la bienséance a depuis longtemps fait taire les mauvaises langues de la cour au sujet de cette anomalie, il se trouve encore nombre de jalouses pour chuchoter sur son passage qu'elle ensorcèle les esprits faibles avec ses yeux, mais à en croire les soupirs de ses prétendants, cette différence semble petit à petit être devenue un atout. Difficile pour elle d'être en accord avec la légende pourtant puisque c'est également l'unique différence physique qui la sépare clairement de son jumeau, lui-même ayant les yeux d'un bleu d'acier, et qui risque de mener sa tête sur une pique. Tels bien des Nordiques, elle arbore une chevelure d'ébène aux reflets d'argent légèrement bouclée cascadant sur ses épaules arrondies avant de lui tomber dans le creux du dos; ne prenant pas toujours le temps de se coiffer, Sinéid paraît parfois quelque peu négligée, ce qui lui octroie un air plus sauvage et incontrôlable, bien qu'elle ait prit l'habitude au mur de les attacher de telle façon qu'ils ont tout juste l'air d'atteindre la pointe de son menton, le plus gros se cachant sous de lourdes capuches de fourrure. Un risque, certes, mais un risque qu'elle est prête à affronter puisque Lord Mulciber a toujours affectionné le contraste saisissant entre sa longue crinière et la blancheur de son épiderme de par la ressemblance frappante qu'elle offre avec sa très regrettée mère.
Aujourd'hui, l'héritière de La-Tombe-du-Roy sent le sang et la cendre, ce qui ne la met pas plus en valeur que ses guêtres ténébreuses bien que son côté têtu la pousse à réclamer de l'eau pour sa toilette plus souvent qu'il n'est coutume pour les autres Frères Jurés – de temps à autre, une discrète fragrance de vanille s'évapore de ses cheveux encore mouillés. Elle sait qu'elle pourra difficilement s'en débarrasser maintenant qu'elle a aiguisé ses armes sur quelques sauvageons aventureux, mais n'y prête à présent que peu d'attention en sachant que ce n'est guère en étant aussi apprêtée que la Reine qu'elle sera respectée, chose qui se révèle déjà assez difficile puisqu'elle fait un damoiseau beaucoup trop féminin même aux yeux de ses supérieurs. En ayant pour seul soulagement de ne pas posséder une voix aussi insupportablement aiguë que nombre des nobles de sa connaissance, la Perce-Neige ne perd pourtant pas son objectif de vue en brouillant volontairement sa voix chaude et sensuelle derrière un murmure rauque de ne pas parler souvent.
Description Mentale
« Si vous ne pensez qu'avec vos yeux, alors vous serez facilement trompé. »
Sinéid est, avant tout, une damoiselle discrète qui accorde une grande importance à la culture et à l'élégance. Le savoir est pour elle une base nécessaire afin d'évoluer dans le monde privilégié des Maisons nobles de Westeros, c'est pourquoi elle a passé toute sa jeunesse à essayer de réunir le plus de connaissances possibles dans des domaines aussi variés que l'escrime et la danse, l'astronomie et la psychologie, la tactique et l'écriture. La rose du Nord est en effet très intelligente et diablement curieuse, incapable de garder ses yeux sagement baissés quand le monde entier recèle de savoirs et de mystères à découvrir et à comprendre. La connaissance est un pouvoir et une force à laquelle elle espère un jour en connaître tous les détails. La Perce-Neige connait parfaitement le jeu des courtisans et les manœuvres politiques, excellant dans ce monde fourbe à double sens où chaque mot déplacé peut irrémédiablement vous détruire. L'aisance, le détachement, la brune les possède tout autant que l'élégante désinvolture que nécessite la vie d'une riche héritière dont le principal attrait reste d'être perpétuellement présentée à de jeunes Lords en quête d'une femme. Si elle se plait dans ce milieu cruel et sardonique ? Il serait déplacé d'imaginer pareille chose quand la jeune fille se montre encore d'une trop tendre naïveté, mais il est un fait qu'elle fait preuve d'une incroyable intuitivité et surtout d'une grande persuasion dans le milieu qui est le sien depuis sa naissance. Pleine d'une harangue qui lui sied bien mieux depuis son arrivée au Mur, ses mots ont toujours été un venin puissant pour qui se sent le courage de les affronter – quand sa situation aime à justifier qu'elle brandisse la lame de Glas, la brune préfère de loin user des mots comme des rasoirs. Grand hélas, la témérité inhérente à la famille Mulciber tend à l'empêcher de lâcher une affaire lorsque celle-ci lui porte à cœur, ce qui la mène encore bien trop régulièrement dans des situations fâcheuses où seule son agilité au combat parvient à la sauver. Néanmoins, le Lord qu'elle est devenue reste majoritairement une personne réfléchie et posée qui reste capable de masquer ses airs impudents derrière une bonne dose d'humilité, ce qui la maintien hors des portées dévastatrice de sa maladresse maladive. Cependant, et contrairement à l'idée reçue sur la superficialité que la conversation d'une damoiselle de son rang devrait posséder, la belle reste peu bavarde et parle rarement d'elle-même, allant jusqu'à ne jamais ouvrir la bouche pour ne rien dire. Sans doute donne-t-elle une impression de force rassurante à ceux qui ne la connaissent qu'en tant qu'homme, mais dans la réalité de son rang ce silence ne fait qu'intensifier le mystère entourant la Lady de La-Tombe-du-Roy des chansons. Il est vrai que dans le rôle dangereux qu'elle tient, elle est difficile à cerner puisque sont esprit ne raisonne pas vraiment en terme de bien ni de mal.
Il est malgré tout utile de savoir que toute noble qu'elle soit, Sinéid se moque particulièrement du passé d'autrui et ne juge pas les gens volontiers – elle a conscience que cela serait trop facile. D'une nature altruiste, l'héritière de la Maison a toujours su faire preuve d'une grande générosité envers ceux qui occupent des places aussi hautes qu'elle jusqu'au paysan le plus pauvre qu'elle couve du regard et aide de ses bras; elle n'a jamais hésité à tendre la main en cas de besoin et est connue pour ça, n'aimant pas la souffrance, sous quelque forme que ce soit. Issue d'une famille au rang élevé, on a bien entendu inculqué les bonnes manières à la Perce-Neige, et si il est vrai que son respect prédomine dans toutes les situations, ce dernier n'occulte pourtant pas son esprit au point d'accepter les plus hauts ordres sans prendre le temps de les analyser. De fait, il n'est pas de désir de conquête, ni même de destruction ni de mort, dans ces mains qui ont pourtant fauché tant de vie. La seule chose visible dans ses décisions, dans ses moindres idéaux, qu'elle n'a qu'une tâche : celle de protéger son peuple. Contre vents et marées, contre dragons et chaos, elle ne laissera jamais sombrer ceux qu'elle a sous sa protection. Jamais La-Tombe-du-Roy ne faiblira tant que ses gens la soutiendront, tant qu'il ne restera ne serait-ce qu'une seule vie pour compter sur elle. Et de fait, ce sens de l'honneur se ressent quand on a connaissance de l'immense sacrifice auquel elle a consenti pour sauver la vie de son jumeau en montant au Mur. Respectant les promesses de douceur et de calme de son physique, la brune ne ressent en vérité aucune rancune envers son cadet mais ne peut s'empêcher de déplorer la brutalité dont font preuve ses nouveaux Frères Jurés. Dire qu'il lui suffisait, auparavant, d'être présente au côté de quelqu'un pour que ce dernier se sente apaisé et serein ! De quoi méditer sur la différence de ressenti selon si on a affaire à une femme ou à un homme, à moins qu'il ne s'agisse juste de la nature profonde des hommes envoyés à la Garde de Nuit. Sans doute est-ce la raison pour laquelle sa personnalité effective est le plus souvent un masque habilement porté pour camoufler ses tendres sentiments, se parant de bonne humeur afin de se convaincre elle-même que la vie vaut la peine d'être vécue. Il est cependant difficile de garder son espace vital dans ces conditions de vie particulières.
Peu ouverte aux sentiments amoureux de par la conscience aiguë de leur probable fausseté, il ne fut pas rare que la damoiselle chantée par les ménestrels refuse les avances de nombre d'hommes, voir de femmes, ce qui ne fit qu'accentuer la portée de son surnom dans le Nord. Elle l'a néanmoins toujours fait de la façon la plus délicate possible et comprend difficilement que sa froideur à ce sujet est capable de blesser certains de ses prétendants. Mais qu'importe, au fond ? Puisqu'elle sait également qu'un jour ou l'autre, si elle a l'occasion de reprendre sa place, elle se retrouvera mariée à un chevalier possédant le double de son âge, et cela avant même d'avoir le temps de pousser un soupir à son attention. Fleur bleue dans un coin intime de sa tête, la Patrouilleuse se surprend de temps à autre à imaginer que ses rêves deviendront réalité et qu'elle sera à même de rencontrer et de choisir un homme vrai pour siéger à ses côtés, mais le caractère qui commence à se forger au gré de sa vie au Mur lui fait presque oublier ses fous espoirs. Peut-être ne repartira-t-elle jamais, après tout. Depuis le début de sa garde, Sinéid a vu défiler sous ses yeux les champs d'exécution, les cènes de torture, les massacres et les pillages incombant tant aux Sauvageons qu'aux Frères de la Garde. Elle a vu la chair découpée, tranchée à vif, dégoulinant de sang et de boue. Petit à petit, elle perd la foi. L'Homme. Les Sept. Les Anciens Dieux. Si elle veut s'interposer lorsqu'elle assiste à des scènes violentes, elle ne peut s'empêcher de se sentir faible en croisant les yeux d'un homme ayant causé masse de tripes à la sortie d'un corps et se rend compte qu'elle devrait pour ça se faire juge ou arbitre dans des affaires qui ne devraient normalement concerner que son déserteur de frère. Alors oui, son allure paraît assurée par ses gestes longuement calculés ainsi que par sa volonté d'achever ses tâches avec prestesse et adresse, rapidité et efficacité, mais elle reste envers et contre tous une frêle Lady au cœur en sang de ne pouvoir être elle-même sans irrémédiablement condamner son double masculin, quand bien même manie-t-elle ses armes comme si ces dernières n'étaient que les extensions naturelles de ses bras. La vérité est que la Mulciber ne sait plus qui elle est vraiment, perdue parmi toutes ces façons d'être. Est-ce volontaire ? Ne cherche-t-elle pas à fuir ce qu'elle est, ce qu'elle ressent ? Pourquoi ? L'existence est semée d'épreuves douloureuses qui peuvent sévèrement ébranler un individu. Parfois, la vraie Sinéid et ses tourments rejaillissent, comme la lave d'un volcan sous la pression. Dans ces moments-là, sa haine contre elle-même et sa trahison envers Westeros est immense, mais elle n'ose pas se permettre de pleurer. Si un jour la belle vient se confier à vous en laissant libre court à ses larmes, c'est que vous avez la chance d'occuper une place inestimable dans son cœur – aussi importante que celle de son idiot de jumeau.
Histoire
Comptez nous votre histoire ici, en 15 lignes minimum.
© By Jake
Dernière édition par Sinéid Mulciber le Sam 28 Juil - 1:35, édité 2 fois |
|
Sinéid Mulciber
♦ Missives : 2
♦ Réputation : 0
| | Sujet: Re: Sin Mulciber, Lord Mort-au-Roy ✩ Lady Sinéid Mulciber, la Perce-Neige (u. c.) Ven 27 Juil - 22:11 | < |
| Je ne l'ignore pas, si ça peut vous rassurer - c'est bien la raison pour laquelle j'insinue déjà de nombreuses fois dans mon texte que Sinéid se fait justement passer pour un homme, plus exactement son frère jumeau, ce que je compte développer plus en profondeur dans son histoire =) Après tout, rien dans l'historique du Trône de Fer ne banni cette idée puisqu'aucune vérification physique n'est faite après avoir intégré la Garde (l'échange ayant eut lieu après le serment). - Spoiler:
Un peu à l'image d'Arya que tout le monde prenait pour un garçon sur son chemin vers le Nord, à la seule différence que Sinéid est parvenue de manière interne =)
|
|
