Je chevauchais rapidement, ce n’est pas que j’étais pressé, simplement que j’avais envie d’un peu de vitesse. Et puis je voulais voir les capacités de ce cheval acheté récemment. L’air passait en dessous de mon chapeau tentant vainement de l’emporter loin de moi. Je connaissais plutôt bien la région, après tout, j’y avais travaillé pendant quelques années et, y revenir était simplement un plaisir. Le froid matinal traversait presque aisément mes vêtements qui n’étaient pas spécialement fait pour cette région. Mais bon, bouger me réchauffait facilement. Je chevauché dans une forêt loin de tout village en direction de Winterfell, la ou se trouvait le Seigneur du coin. Oui, il faudrait bien que je m’annonce, après tout, se serait sans aucun doute ma plus grande source de profit. Et puis par pur politesse, il fallait bien que je me présente à lui.

D’un seul coup, un homme surgit du bord du chemin. Je fis arrêter mon cheval manquant d’écraser l’inconnue qui venait de s’étaler par terre en trébuchant. Je regardais par-dessus la tête de mon cheval pour voir s’il allait bien. Il se redressa et se précipita sur moi en criant que je devais l’emmener voir la famille Stark qui s’occupait du coin. Je hochais la tête. Je savais parfaitement monter un cheval et je connaissais une technique qui nous permettrait de voyager tout les deux sans problème. Surtout que cet homme ne paraissait pas savoir monter un cheval. Encore moins tenir. Je descendis de la monture et le fis monter. Sur la selle. Mon cheval était bien dressé et il ne bougea pas lorsque je montais moi aussi, devant l’homme. Juste devant la selle. C’était beaucoup plus compliqué mais je parvins à faire avancer mon cheval. Je demandais à l’homme ce qui se passait et ce qu’il me répondit me glaça le dos.

-Des sauvages, des hommes armés prêt à faire un carnage.

L’un d’ailleurs surgit devant nous. Je talonnais mon cheval et alors qu’il tirait son épée au moment ou nous passion a coté de lui, je lui logeais un coup de pied en pleine figure lui brisant le nez. Au galop, nous nous dirigeâmes vers le château. Je savais ou il était Heureusement. Il n’y a rien de plus inconfortable de voyager au galop dans la position ou j’étais. Rapidement, une lourde douleur apparue dans mon dos mais je n’y prêter pas attention. Je n’étais de loin pas assez fort pour éliminer une bande de sauvage qui devait sans aucun doute être de bon combattant. J’arrivais en vue du château ou se trouvait la personne rechercher. Une personne qui pourrait régler le problème. Oui, si les sauvages suivaient nos traces, ils seraient bientôt par ici. Je m’arrêtais devant les gardes a l’entrée du bâtiment et descendis de mon cheval suivit par celui que j’avais aidé. Je saluais les gardes d’un signe de tête et lâchais.

-Bonjour voisins, on a un léger problème avec des sauvages dans le coin, faudrait qu’on parle à la famille Stark pour faire quelque chose.

L’un des deux hocha la tête, sans doute le plus gradé qui savait parfaitement ce qu’il fallait faire.

-Bien suivez moi on va voir si on peut faire quelque chose.

Je hochais la tête satisfait et le suivis dans la cour du château, je ne pensais pas que cela allait être si facile mais maintenant, il ne restais plus qu’à trouver le Seigneur Stark.

Au final il allait bientôt être midi. J’espérais que le Seigneur n’était pas déjà entrain de manger. J’avais faim moi aussi mais bon, ce n’était pas le plus important pour le moment. Oui, ce qui était important était le faite que des vies étaient en danger. Et la vie d’une personne et plus importante que tout. La cours n’était heureusement pas très grande et le Donjon proche de l’entrée. Tout aller bien ce passer, le seigneur irait dépêcher un groupe de soldat. La menace serait éliminée. Ce qu’il fallait c’était le faite que aucun civil ne soit touché. Oui les gens innocent qui n’ont rien demandé en dehors de vivre. La demeure vue de l’extérieur n’avait rien d’impressionnant. C’était joli, j’avais toujours apprécié les constructions de pierre mais, j’avais vue bien plus impressionnant. Rien que la capital était simplement fabuleuse au niveau des constructions. Le lieu ou vivait le roi, un lieu immense. Ici, c’était tout petit. Néanmoins suffisamment grand pour que cela soit agréable. Bien que rien ne vaille la nature. Arriver au pied des marches du donjon le garde se retourna. Il aperçu quelqu’un et me donna un coup de coude en me disant de le suivre.

Je me retournais, en face de moi, a quelques dizaines de mètre, un homme. Bien habillé. Pour être habillé comme sa. Un bruit a mes pied attira mon attention, un chien anormalement grand était arrivé prêt de nous nous reniflant. Enfin un chien, je le regardais tout en avançant et finis par déduire que cela devait être un loup garous. Comme sur l’emblème de la maison Stark. Magnifique. Je souris en continuant d’avancer. Relevant la tête, je regardais le seigneur des Lieu. Jeune, il ne devait pas avoir plus de 25 ans. Au maximum. Ce n’était qu’une estimation, il pouvait aussi bien avoir plus, ou moins. Mais je m’en foutais complètement. Après tout, qui que se soit, tant qu’il donnait les bon ordres tout était bien. Quelque soit sont âge, tant qu’un seigneur était juste, cela m’allais. Le garde s’inclina tout comme l’homme que j’avais aidé. Personnellement, je me contentais d’incliner la tête afin de témoigner mon respect. Ce n’était pas à moi de parler en premier mais au garde, ou a l’homme que j’avais aidé. Après tout, je n’avais fais que briser le nez d’un sauvage. Rien de plus. Je n’avais rien vue de précis. Même si, a mon avis tout allait se passer pas très loin d’ici. Il suffisait que les sauvages suivent nos traces afin de venger l’affront que je leur avais fait. D’ici quelques heures ils seraient arrivés. Je dis néanmoins.

-Seigneur Stark.

Gardant la tête baissé qui fus du coups caché par mon chapeaux, j’attendis qu’il me réponde.

Le garde parla, me présenta moi et le paysan comme des gens qui prétendaient quelque chose. Malheureusement pour la paix du coin, nous ne prétendions pas, ils étaient la. Et ça aller poser problème. Ensuite ce fus aux tours de l’homme que j’avais aidé de parler ; il raconta son histoire, une histoire triste, qui me donna envie d’aider. Mais surtout de le venger. Oui, ces sauvages n’avaient aucune raison de faire ce genre de chose. Et les gens qui s’amusent à tuer, je dois dire que je ne les apprécie pas. Pourquoi ? Simplement parce que la vie est précieuse et que lorsque l’on détruit une vie, on détruit une partie de la vie de plusieurs personnes. Tous ceux qui connaissent la personne morte en sont affectés. Parfois affligé. Certain ne s’en remette pas. C’est pour cela que je n’avais qu’une envie. Venger cet homme. Bien sur, la vengeance appelle la vengeance. Malheureusement je savais parfaitement que ces sauvages ne s’arrêterait pas la et qu’ils continueraient leurs travail de mort. Et si je pouvais l’empêcher, j’en étais heureux. C’est pour cela que les décisions du seigneur me plurent beaucoup. 10 hommes… il devait avoir confiance en lui, ou bien il voulait simplement que son château reste garder correctement. Enfin, il se tourna vers moi en me demandant comment il pouvait me remercier. Et en plus il m’avait appelé Ser. Je failli en rire.

-Ser, je n’en suis point un, je ne suis qu’un simple Mercenaire.

Je souris encore sous mon chapeau, je savais déjà ce que je voulais, de toute façon, je n’avais pas besoin de son autorisation pour y aller puisque je n’étais pas sous sa juridiction. Mais bon, si je pouvais les aider directement au passage. Se serait un bonus. Je m’agenouillais donc devant lui pour lui faire ma demande.

-Laisser moi vous accompagner, je sais parfaitement me battre et je peux être utile. Plus on est, moins le risque est grand après tout. Et si vous doutez de ma force, vous pouvez toujours me tester.

Je rester agenouillé devant lui en attendant sa réponse, la tête baissée qui était de toute façon cacher par mon chapeau. Je ne savais pas si cela pouvait paraître pour lui une offense mais de toute façon, il était hors de question que je l’enlève. Je tenais à ce chapeau comme à ma vie. J’attendis patiemment sa réponse en espérant qu’elle soit favorable.

Il accepta ma demande. A ces paroles, je relevais la tête. Rare était les souverain de ce genre ; Des souverain qui n’aimait pas que l’on ploie le genou devant lui. Rapidement, d’une main ferme et décidé, j’attrapais sa main et me relevais avec son aide. Il semblait anxieux et je me demandais si c’était son premier véritable combat. Un combat ou si l’on rater une attaque ou une parade, la mort pouvait venir nous chercher. Je souris un peu plus. Cela me permettrait par la même occasion de voir comment se débrouillerais ce seigneur. Cette personne jeune qui devait déjà diriger son domaine. Personnellement, je le plaignais. Je préférais de loin ma vie d’errance à découvrir le monde. Un monde que je commençais a connaître pas mal. Mais le monde n’est pas aussi beau que l’on peu le croire, il est parsemé de trahison de bataille et de sang. D’argent et de douleur. De souffrance et de mort. De tristesse et de tombe. Quelqu’un amena un cheval, sans aucun doute celui du seigneur Stark. Le mien devait toujours êtres a l’entrée. Il grima sur sa selle avant de dire que nous pouvions partir, mais, il voulait mon nom. Un nom que quelque personne connaissait un peu partout mais qui n’était pas vraiment connue. Après tout, les mercenaires sont connues uniquement si l’on s’intéresse à eux.

-Van Maanlicht

Ensemble nous nous dirigeâmes rapidement vers la sortis. Les dix soldats prévus nous rejoignirent au moment ou je montais sur mon cheval. En rang, synchronisé. Décidément, l’armée, toujours pareil. C’était moi qui connaissais la dernière position des sauvages et, naturellement, je pris la tête pour montrer le chemin. Un petit galop, entre la rapidité et le calme. De quoi ne pas essouffler les chevaux. Tout le monde me suivit, c’était parfait, a ce rythme, il ne faudrait pas plus d’une heure ou deux pour arriver. Et encore faudrait-il les retrouver. Néanmoins, je soupçonnais fortement que les sauvages allaient se diriger vers nous en suivant mes premières traces. Histoire de venger leur compagnon. C’est ce que j’espérais ce serait ainsi beaucoup plus simple de les éliminer.

Une heure de route, pas plus. C’est ce que nous venions de parcourir mais a notre vitesse cela fait déjà un trajet acceptable. Le voyage entier c’était fait silencieusement, sans aucune protestation, sans aucunes paroles. Sur ce point, je préférais els groupe de mercenaire, souvent prêt à bavarder, préférant rire lorsque la mort approche. Oui, il vaut mieux aborder la mort en riant. Après tout, elle est notre camarade et c’est elle qui s’occupera de nous lorsque nous aurions prit un mauvais coup. Mais cela fus facile au final de retrouver les sauvage. Ils hurlaient. Si fort que j’en avais mal aux oreilles. De vieux souvenir de la guerre remontèrent à la surface. Les moments de discours ou tout le monde acclamait le chef. Si bruyant. De plus, nous étions proches d’une ferme. Je talonnais mon cheval. Les autres n’avaient plus besoin de moi, leur seigneur ferait ce qu’il faudrait pour les commander ou bien s’il n’y arrivait pas, c’est qu’il n’était pas digne de commander. Les sauvage décidèrent de se battre et nous foncèrent dessus. Le problème d’être à cheval, c’est que l’on dépasse rapidement sont adversaire. Certes, cela donner un avantage non négligeable lorsque la cavalerie est nombreuse mais, lorsque l’on est seul contre une vingtaine, le cheval se fait vite couper les jarrets.

Ma monture était inquiète, elle n’avait jamais aimé les combat de ce genre et lorsque le loup garou apparu a coter de moi, j’eu du mal a la rassurer les quelques secondes nécessaire. Je percutais un sauvage de toute la puissance du cheval, deux, puis trois. C’était donc la leur manière d’arrêter les montures. Arme en avant. Juste avant de percuter les sauvages, j’enlevais mes pieds des étriers et lorsque mon cheval ralentit en titubant, je sautais de ma monture en dégainant ma lame. Décidément, j’étais bien plus a l’aise a pied pour me battre. J’étais confiant, désormais la chance serait avec moi ou non. Désormais seul avec le loup, j’étais une cible parfaite, les sauvages ne fuirait pas, pas tout de suite et le seigneur Stark pourrait attaquer comme il le voudrait. Il fallait juste qu’il ne mette pas trop de temps. Tenant mon épée a une main, je déviais la première lame qui me visa. Un magnifique coup de poing de la main gauche atteignit mon adversaire dans la mâchoire. J’étais bien plus entraîné qu’eux. Après trente ans a étudié l’art de l’épée. Après avoir participé à la guerre et avoir protégé des gens un nombre incalculable de fois, je ne craignais pas ces petits sauvages. Même seul contre vingt j’étais sur de pouvoir compter sur le seigneur Stark. De plus, le loup était avec moi. J’entendis un hurlement alors que mon épée trancha la gorge d’un sauvage.

Silencieux comme la mort, je me battais de façon efficace, oui, il ne faut pas dépenser son énergie inutilement. Je me baissais rapidement esquivant une masse qui s’abattait en diagonal. Un pas sur le côté, une réponse. Un mort. Ils étaient pleins d’ouverture, plutôt du genre à penser que leur premier coup anéantirait leur adversaire. Plutôt du genre à s’attaquer aux faibles. Le genre de personne que je détestais. Un sauvage osa me toucher au bras, je sentis le métal s’enfoncer dans ma chaire, rapidement. Mon bras droit en plus. Désormais, j’attendais que le seigneur Stark dirigent ces hommes, c’était à son tour de se battre et de montrer sa valeur. Mon boulot était finit, l’ouverture laisser était grande, si ils n’arrivaient pas a en profiter, je devais avouer que je serais déçu. D’autant que mon cheval n’avait pas eu l’air d’apprécier mon entrée.

Les cavaliers avait maintenant encerclé les sauvageons la fuite était devenu quasiment impossible pour eux. Comme il le présenter les sauvageons s’était ruer sur Van Maanlicht et le combat débuta après avoir percutais plusieurs sauvageons Van Maanlicht dus mettre pied à terre en dégainant sa lame. Vent Gris lui s’était jeter sur le premier sauvage qu’il croisa, l’homme s’écroula en arrière sans même avoir pu réagir d’un simple coup de mâchoire le loup lui trancha la carotide. Robb fonçais désormais à toute allure vers les combats l’adrénaline monter de plus en plus, à l’opposer il ne pouvait plus se permettre de perdre une seconde car le mercenaire ne tiendrait pas indéfiniment il combattait maintenant au corps à corps, il aperçut à l’opposé une lance envoyer par un des cavaliers mais elle ne fit pas mouche.


Trente mètre… Robb leva son épée vers sa bouche et embrassa le plat de la lame, elle était froide la lame qu’il allait bientôt souiller, froide comme son cœur, sa respiration était de plus en plus rapide et bruyante. Vingt mètre il s’aperçu que Van Maanlicht avait reçus un coup sévères au niveau du bras, son sang fit un tour avait ’il prit trop de temps ? Dix mètre s’était comme si une autre personne avait pris possession de son corps l’a peur l’avait abandonné il ne se poser plus aucune questions.

L’épée rencontra le premier sauvageon, elle s’abattit dans la gueule de l’homme le tua sur le coup du sang gicla sur le visage de Robb son étalon avait déjà perdu pas mal de vitesse. Les combats autour de lui fessaient rage mais il n’avait pas le temps de regarder autour de lui car déjà un autre sauvageon se trouver sur sa route. L’homme tenta de blesser le cheval de Robb mais il n’en eu pas le temps il le frappa au dos il n’en était surement pas mort mais il ne s’attarda pas sur lui car il était de toute façon devenu inoffensif. Un homme cria dans une langue qui était inconnue de Robb, suite à sa les quelques survivant dans les rangs des sauvageons se résignaient à combattre et prirent la fuite

« Capturer les, ne les laisser pas s’échapper ! »

Les quelques survivant était au nombre de trois et furent rapidement maitriser, du côté des hommes du nord un des soldats perdit la vie et deux autres était gravement blesser. Robb tourna le regard vers Van Maanlicht pour voir si il allait bien, apparemment sa blessure n’était pas très grave ce qui le rassura. Ensuite il ordonna à Walder de regrouper les sauvageons en ligne et de place leurs tête sur le rocher , Robb avait toujours son épée dans sa main droite il se plaça devant le premier et plante son épée devant lui tout en baissant légèrement la tête avant de réciter les textes que père lui avait appris

« Au nom de roi Robert de la maison Baratheon le premier du nom, roi des Andals et des premiers hommes, suzerain des sept couronnes et protecteur du royaume, moi Robb de la maison Stark seigneur de Winterfell je te condamne à mort »

L’épée prit sont envole et trancha la tête du premier, s’était lui qui avait tué le soldat du nord, il répéta ensuite les mêmes phrases pour le second qui cracha au pied en Robb en criant sont allégeance à Mance Rayder à nouveau l’épée fit sont office. À la vue du troisième sauvageon, Robb prit un temps de réflexion et observa la sauvageonne qui soutenait sont regard, il l’avait découvert caché dans un arbre et Robb ne l’avait vu commettre aucun méfait.

« Elle servira désormais Winterfell , qu’on l’emmène »

Robb se détourna d’elle et se dirigea vers Van Maanlicht qui avait observé la scène, il regarda à nouveau la blessure du mercenaire

« Vous êtes un excellent épéiste l’ami, comment va votre bras ? »

Une entaille à mon bras armée, pas vraiment profonde, du moins c’est ce que je me disais mais du coup je ne parvenais pas a bouger correctement mon arme. Je changeais de bras. Me battre de la main gauche, je n’en avais pas vraiment l’habitude mais parfois, il faut faire avec. Décidément, ils étaient longs à arriver. Le sang battait a mes temps tellement j’étais concentrer afin d’éviter les attaque diriger vers moi. Soudain plusieurs sauvage me laissèrent tombé, je n’étais plus vraiment une menace. Les bruits de sabot parvinrent à mes oreilles et je regardais autours de moi. Les cavalier chargeait, de partout et réduisait les sauvage en miette que j’avais rassemblé autour de moi. Efficace, direct. Ils n’avaient aucune chance de survie. Je bloquais la lame d’un sauvage qui voulait me tuer, un duel de force. De mon bras gauche. J’allais perdre. Réactif et ayant l’habitude de ces situation je projetais ma tête en avant assénant un magnifique coup de boule qui fit reculer le sauvage immédiatement cueillis par un cavalier qui lui trancha la tête. Je le remerciais d’un signe de la tête qu’il ne remarqua surement pas. Puis, tout ce termina. Quelques sauvage fuiyèrent mais furent rapidement rattraper. Une femme sauvage fut aussi retrouver, cachée. Mais je m’en fichais.

Désormais, j’examinais ma blessure, plus profonde que je ne le pensais. Muscle légèrement touché ce qui expliquais pourquoi je ne parvenais pas a bougé mon bras comme il le fallait. Un soldat vint m’aider, plantant ma lame dans le sol, je défis ma ceinture à laquelle était attaché mon fourreau. Je décrochais celui-ci le jetant au sol et demandais au soldat s’il pouvait me faire un garrot le temps de trouver un médecin. Il accepta serrant du plus fort qu’il le pouvait. La souffrance me rendait légèrement amorphe, comme si je n’étais pas entièrement connecter au monde. J’observais donc avec une certaine indifférence l’exécution de deux des sauvages. La sauvageonne elle fut épargnée puisqu’elle n’avait pas participé au combat. Elle servirait au château. Manœuvre dangereuse d’après moi mais j’approuvais ce choix. Tuer une innocente était mal et je doutais qu’elle faisait partie des meurtrier de la famille du paysan. Malheureusement, a mon avis elle serait mal accepter a son arrivé. Enfin il se dirigea vers moi en regardant ma blessure. Il me complimenta sur mes qualités de combattant avant de s’inquiéter pour mon bras. Je revins a la réalité et sourit légèrement.

-Bon épéiste, apparemment pas assez vue qui mon touché. Je ne pourrais pas utiliser mon bras pendant un certain temps je pense.

Je le regardais quelque instant avant de demander avec une certaine curiosité.

-T’es sur que sa ira pour elle ? Sa m’étonnerais beaucoup qu’elle soit bien accepté par les habitants.

Franchement, ce seigneur m’était des plus sympathiques. Me proposant immédiatement de me faire soigner dans son château, cela m’épargnerait ainsi les frais de médecin. Rien de mieux pour moi puisque ma bourse n’était pas des plus pleine. Je hochais la tête aussi bien pour accepter sa proposition que pour signifier que j’étais d’accord pour la sauvageonne. J’espérais simplement que tout ce passerait bien pour elle. Le seigneur s’éloigna rapidement en direction de ses hommes et je me tournais vers mon cheval. Il secouait la tête reprenant ses esprits. Je m’approchais de lui et m’accroupis en lui caressant la tête. Oui, il avait prit quelque coup mais apparemment rien de grave. Il se releva avec difficulté, secoua la tête et me regarda signifiant que tout était bon. Stark s’approcha à nouveau de moi en disant qu’il m’attendait pour reprendre la route. Il semblait pressé. Normal. Apparemment il était comme tous les hommes. Tuer n’est pas une partie de plaisir.

-Je suis prêt on part quand vous voulez.

Lentement, je saisis la selle de la main gauche. Mettais un pied dans un étrier et me hisser sur ma monture. Heureusement que celle-ci était docile car le moindre mouvement brusque lors de la manœuvre m’aurais tout simplement éjecté par terre. Je flattais l’encolure de mon cheval et suivit la troupe retournant au château. un certain nombre de soldat était rester pour je ne sais qu’elle raison. Sans doute pour aider les paysans, vérifier qu’il n’y avait pas eu de problème aux alentours ou autres. Mon sang s’égoutter lentement, venant de mon bras, j’allais en perdre une bonne partie mais cela ne m’inquiétais pas, je survivrais. J’avais connue pire. Bien pire. Comme dans un monde irréel, j’avançais en compagnie de mon cheval, silencieusement. Pas une seule plainte ne s’échappa de ma bouche. Cela faisait longtemps que je ne montrais plus aux autres lorsque je souffrais, cela n’avait pas d’intérêt a part d’inquiéter. Et à quoi bon inquiéter ce seigneur qui n’était même pas le mien ? J’allais me faire soigner, se serait bien suffisant.